Avec la nouvelle série animée de Dragon Ball Daimas’est fortement orientée vers le thème des Royaume des démonsrévélant des détails inédits sur le les origines de la magie et son rôle dans l’univers de Dragon Ball. Depuis l’époque d’Akira Toriyama, Ki et Magie ont coexistémais jamais aussi profondément qu’aujourd’hui. Le royaume des démons se révèle être une composante essentielle de l’univers, dont on a découvert qu’il était le lieu d’origine. d’où viennent les Nameks, les Kai et même les Dragonballs elles-mêmes.. Mais ici, c’est la magie qui prend le dessus : les démons ne perçoivent pas le Kicomme le démontre Dabura dans Dragon Ball Z, car ils ne s’appuient que sur la magie.
Dans le royaume des démons, la magie se distingue du ki par son caractère unique : chaque démon semble posséder une technique magique spécifiqueplutôt qu’une énergie qui peut être accumulée et modulée comme le Ki. Par exemple, Majin Buu peut transformer ses ennemis en bonbons et exploiter l’élasticité de son corps, mais ces pouvoirs sont intrinsèques et ne découlent pas d’un entraînement. Même les Namekians, connus pour leur lien avec les Dragon Balls, compliquent cette distinctionBien que beaucoup maîtrisent des magies liées à la manipulation de l’énergie latente, Piccolo est une exception, avec des capacités basées sur le Ki telles que les attaques énergétiques.
Limites et potentiel de croissance des deux forces
La différence fondamentale entre la magie et le ki semble résider dans leurs limites. Selon notre source ComicBook, le Ki, tel qu’il est démontré par Goku et d’autres combattants, est très limité. adaptableElle peut être améliorée par l’entraînement, développée dans de nouvelles techniques et même poussée au-delà de ses limites naturelles. La magie, en revanche, est intrinsèquement liée au démon qui le possède et au type de technique qu’il peut maîtriser. Cela crée une hiérarchie naturelle entre les démons, où celui qui possède une magie plus forte est considéré comme supérieur.
Un exemple clé est Neva, dont le pouvoir magique est légendaire, mais probablement attribuable à sa longue durée de vie plutôt qu’à un entraînement tel que celui requis pour maîtriser le Ki. Cependant, même cette rigidité de la magie est remis en question dans le royaume des démons. Ici, Goku, limité par sa forme physique, est contraint de se battre à armes égales avec des utilisateurs de magie, mais grâce à sa capacité à surmonter ses limites, il trouve déjà des moyens de s’adapter et de grandir. Le Ki conserve donc un potentiel de croissance illimité par rapport à la magiequi reste plus statique et prédéfinie.
Cette dichotomie entre Magie et Ki redéfinit non seulement les dynamiques de pouvoir dans Dragon Ball, mais amène aussi à réfléchir sur la façon dont l’univers évolue et explore des directions jusqu’alors moins centrales. Le royaume des démons introduit des défis et des révélations qui rendent l’exploration des limites des personnages encore plus fascinante. Goku prouve une fois de plus que sa force ne vient pas seulement de sa puissance, mais aussi de sa capacité à s’adapter et à grandir, ce qui lui donne une longueur d’avance, même dans les territoires les plus hostiles.